Keen'V

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Keen'V, de son vrai nom Kevin Bonnet, est né le 31 janvier 1983 à Rouen (France) dans le département de la Seine-Maritime, est un chanteur auteur-interprète français. Il se fait connaître en 2008 en discothèque grâce à son tube À l’horizontale et connaît le succès à partir du titre J'aimerais trop en 2010.

Enfance et débuts Originaire de Rouen en Seine-Maritime, Keen'V a fait des études psychologie et de sociologie au lycée Ferdinand Buisson à Elbeuf. Né dans une famille de médecins, son père étant professeur à la faculté de médecine de Rouen, sa mère travaille en tant que secrétaire dans une direction, il dit avoir voulu devenir psychologue avant de devenir chanteur. Il a également été sapeur-pompier volontaire1 à Amfreville-la-Campagne (Eure). Par la suite il est disque Jockey (DJ) et animateur au Moulin Rose (discothèque à Belbeuf 2).

En 2005 il fait la rencontre du compositeur Fabrice Vanvert alias Fab'V, ensemble ils composent les premières chansons "Loco la salsa" et "Soca soca te quiero" . Keen'V se produit ainsi dans une cinquantaine de discothèques en France ce qui contribue à le faire remarquer par le public, il fait la rencontre des chanteurs (Obed et L'Rayan) et ensemble il sortent un clip-vidéo intitulé Dancehall Musik composé par Fab'V. Quelques mois plus tard il fait la rencontre de DJ Yaz qui lui propose de devenir son producteur. Par la suite il obtient un contrat label Universal Music qui lui permet de sortir de nouveaux titres.

Elle a

Quand l'amour frappe à ta porte,

Tu n'as plus qu'a le laisser entrer.

Tu ne sais pas c'qu'il t'apporte,

Pourtant tu veux te laisser tenter.

Ça peux durer un jour,

Ou peut-être pour toujours.

J'étais sur que je n'serais pas déçu et j'ai su qu'c'était la bonne quand je me disais.

Elle a ce petit je ne sais quoi,

Qui me fait vriller.

Parce que une seconde loin de ses bras,

Peut me faire plier.

Quand nos corps se confondent sous les draps,

J'aime l'entendre crier.

Oh non, jamais je n'pourrai l'oublier,

Car elle et moi sommes liés.

Avant elle j'aimais être seul,

Qui aurait pu imaginer.

Qu'elle deviendrait un jour ma boussole,

A laquelle je pourrais me fier.

Qu'après des mois enfin je me sens vivant,

La seule chose mieux qu'un d'ces baisers c'est le suivant.

Chaque jour on se découvre,

C'est vrai mais pourtant.

Je la connais par cœur.

Elle a ce petit je ne sais quoi,

Qui me fait vriller.

Parce que une seconde loin de ses bras,

Peut me faire plier.

Quand nos corps se confondent sous les draps,

J'aime l'entendre crier.

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